[Mission A] La catin tueuse. Ft.Osamu

La catin tueuse.
C'
était le lendemain du repas de famille et avec ce qui s'était passé la veille pas étonnant que les deux tourtereaux ne se parlaient pas. En effet, la veille Shojito et sa petite famille s'était retrouvé chez son père et dans l'unique but de donner une leçon à ce dernier il avait subtilement glisser dans un plat, un laxatif puissant. Seul bémol, et il ne l'avait pas prévu, Osamu dans toute son infinie stupidité avait échanger de plat avec le vieux Ikezawa et donc par conséquent ingurgité elle même le laxatif. Autant dire que la bonne humeur n'était pas au rendez-vous pour le réveille, elle était même totalement absente.

-Tu vas pas faire la gueule toute la journée si ? J'te rappel que c'est toi qui a décidé de changer d'assiette. En plus j'me suis excusé avant même que tu manges alors...

Avait-il déclaré lorsqu'ils avaient déposer Nijiko à la garderie pour pouvoir commencer leurs mission. Car oui, il avait une mission et l'un ayant une main cassé tandis que l'autre manquant de sommeille, ces deux la n'était pas sortit de l'auberge pour réaliser une mission.

Les informations disaient que regrouper dans l'ordre de mission n'indiquait absolument pas par ou commencer c'était pour cette raison que le couple avait été choisis pour cette mission. Bien que les deux Jônin cumulait à eut deux des réputations plus terrible l'une que l'autre, ils étaient également d'excellant enquêteurs du moins c'était le sentiment qu'avait la Mizukage fallait-il croire.

-Pour commencer je propose qu'on aille dans les bordel de la ville pour trouver des pistes. Demander s'il y a une nouvelle un peu bizarre ou bien cherchez si l'une d'entre elles est suspect. Il ne doit pas y en avoir tant que ca des bordels si ?

Déclarait l'Ikezawa pour aider au mieux à faire la mission. Ce n'était pas tant qu'il n'avait pas envie de discuter de leurs différent au cours d'une mission mais... Il n'en avait strictement rien à fait. Après tout il était dans son bon droit de dire qu'il n'était en rien responsable des actes de sa femme. Elle aurait du se douter qu'il avait mis quelques chose dans son plat. Elle le connaissait après toute ces années. Mieux que quiconque...

-Hey peau d'vache ? Tu m'écoutes ?

Invité

Bien sûr qu’elle faisait la gueule. Mais de là à négliger sa mission, non pas quand même. Après qu’ils se soient débarrassés de leur fille, euh, qu’ils aient confiés leur fille, la kunoichi l’écoutait patiemment faire la conversation tout seul. Il ne savait pas ce qu’il voulait celui là décidément. Un coup elle parlait trop à son goût et quand elle se taisait enfin ce n’était plus assez. Secouant sa tête un peu dépitée, la Kaguya finissait par se stopper dans leur trajet dans une ruelle peu fréquentée.

▬ Arrête de brailler, tu me soûles. Bon au moins, le ton était donné d’une part et d’autre… Je vais me faire passer pour une fille du métier en modifiant mon apparence, mais sans henge au cas où l’on tomberait sur un senseur. L’amalgame est vite fait entre Geisha et prostituée n'est-ce pas ?

Sur cette note rancunière et il ne l’avait jamais avant sans, la Kaguya rentrait ses cornes pour paraître plus « normale ». Elle déposait son sac sur une caisse sortant ainsi la panoplie qu’elle avait prévue pour l’occasion et se changeant sans gêne sur place. S’il ne voulait pas qu’on la matte, il n’avait qu’à faire en sorte de cacher la vue de ses attributs. C’était sa punition pour hier soir en quelque sorte. Et en à peine quelques minutes, la kunoichi était métamorphosée, trop maquillée bien sûr, habillée vulgairement aussi, puis brune, un artifice avait rendu ses cheveux noirs temporairement.

▬ Qu’est-ce que tu en penses ? Je suis crédible « mac ».

Son petit rire signifiait à quel point elle prenait plaisir à tester ses nerfs de la sorte, mais l’homme ne pouvait pas nier que c’était la meilleure façon pour eux d’obtenir ce qu’ils voulaient. De toute façon c’était décidé pour elle, elle ne changerait pas ses plans, il allait devoir s’y faire.

▬ Allez, assez perdu de temps, allons déjà nous intégrer pour pouvoir piocher nos infos.

Puis elle ne doutait aucunement qu’il trouverait bien une solution pour que personne ne touche à sa femme pendant la mission. Cette garce. Au pire, elle était une grande fille sachant se défendre… Mais la Kaguya restait confiante, d’autant plus qu’elle s’amusait comme une folle en lui coupant l’herbe sous le pied et s’avançant vers leur destination en ondulant tout son corps sur sa route.

Elle n’en ratait jamais une pour le faire sortir de ses gongs…

La catin tueuse.
S
e faire passer pour une prostitué ?! L'idée ne lui plaisait pas du tout et pourtant il n'arrivait pas à trouver meilleurs solution. Du moins il n'osait pas proposer l'idée qu'il avait en tête et qui était tout aussi viable. Pas vraiment par peur, mais par bon sens, s'il lui confiait qu'il préferait jouer les clients, elle entrerait dans une colère folle et valait-il mieux pour la mission que cela n'arrive pas. Il avait tout de même prit la peine de la caché, lui et seulement lui avait et aura à jamais le droit de voir ses courbes sous les vêtements, hors de question de laisser quiconque les apercevoir.

-C'est dans ce genre de moment que je me rappel pourquoi tu es à moi.

Avait-il déclarer sans trop vraiment se rendre compte qu'il avait pensé à voix haute. Ensuite tombait la question fatidique, était-elle crédible ? Oui. Pouvait-il se permettre de le lui dire. Non, il n'était tout de même pas suicidaire bien qu'il aimait la charié, insulter sa femme de prostitué n'était jamais au grand jamais une bonne idée, surtout quand celle-ci se nommait Kaguya Osamu.

-Crédible. Possible, mais jamais tu ne fera ce métier. Sinon je te coupe la tête.

C'était sa manière à lui de lui faire comprendre qu'elle n'avait de crédible que l'apparence. Bien entendu l'heure n'était plus à la discussion mais à la quête d'information et Shojito allait donc jouer le rôle du mac. Il avait aussi prévu quelques artifice pour se déguiser. Après tout il était un jonin réputé à l'instar de la geisha qui jusqu'à aujourd'hui avait du naviguer entre deux chaises. Il s'était alors grimer le visage pour ressembler à quelqu'un de peu commode. Déjà qu'il ne faisait pas bonne figure au naturel, les fausses scarification sur son visage et le fait d'attacher ses cheveux avec un chignon lui donnait l'air d'un bandit de grande envergure. Il avait également enfiler un kimono noir et s'était équiper d'un sabre au cas ou il serait amener à se battre sans devoir dévoiler son identité.

La question était la suivante ? Allaient-ils se lancer dans une infiltration de longue halène durant plusieurs semaine ? Ou allait-ils facilement trouver la coupable et la traduire en justice ? Rien n'était moins sur et déjà alors qu'il était pensif, Osamu jouait son rôle à la perfection. S'ils n'avaient pas été en mission il se serait bien tenu de lui faire la remarque qu'une telle démarche était inapproprié et qu'elle devait cesser sur le champ, mais trop tard ils arrivaient à destination. Le premier bordel.

-Bonsoir mesdames. J'ai envie de faire affaire avec le patron. Ma fille ici présente est chaude et à vendre. Ne soyez pas jalouse, bien entendu qu'elle vous volera tout vos clients, mais business, c'est business. Bon, faites pas trop les mijaurées et allez m'chercher le patron des lieux. J'ai pas que ca à foutre !

Déclarait-il alors qu'il avait infusé du chakra dans ses cordes vocal pour donner illusion que ca voit était plus grave que d'ordinaire. Les filles avaient protesté en voyant un homme aussi impoli débarquer et les brusquer de la sorte, bien qu'habituer à ce genre de comportement elle avait pour habitude que ce soit leur mac qui leur parle ainsi et non pas le mac d'une pute plus belles qu'elle... Tout ça n'allait pas arrangé le business de ces dames qui allaient perdre un sacré pourcentage à cause d'un Osamu parfaite pour le rôle. La était toute la démarche, si la tueuse était parmi elles, elle réaliserait qu'elle allait perdre la possibilité d'avoir des clients, et donc de tuer. Passe temps que jusqu'à présent elle semblait aimer.

Ils n'avaient pas attendu bien longtemps avant que le mac de l'établissement rapplique, ou plutôt devrait-il dire la. En effet, une femme avec de longue jambes et une chevelure magnifique se tenait désormais face à nos protagonistes. Une beauté sans pareil rivalisant très largement avec celle de la Kaguya. Aie... Il savait déjà ce qu'il entendait après cette mission mais bon. Autant se lancer directement.

-Oulah beauté suprême... C'est que tu ferais de la concurrence à ma fille avec un cul pareil ! C'est pas de la pastie tout ça ? C'est de la chaire ? Eh beh ! J'crois qu'tes pas arrivé la par hasard toi hein.

Oh ce qu'il détestait parler de la sorte, surtout quand on pensait que derrière lui se trouvait sa femme et qu'elle n'allait pas manquer de lui faire payer de tel propos. Mais foutu pour foutu il avait accentué ses propos avec la tentative d'une main au fesse. Heureusement ou pas d'ailleurs, il se voyait accueillit d'une belle claque dans le museau de la part de la tenancière du bordel bien plus qu'habitué à ce genre de comportement de porc. Pour autant elle n'avait pas montré d'hostilité et invitait les deux à la suivre jusqu'à son bureau non sans ayant préciser qu'elle n'était pas sur la carte et que si Shojito voulait profité, il fallait allongé bien plus qu'une simple fille aussi belle pouvait-elle être.

Invité

Elle voulait l’énerver, mais il jouait les amoureux aveugles. Connard va. Frustrée comme pas possible et donc étanche à tous compliments, sa capricieuse épouse ne prenait même pas la peine de lui répondre, elle était déjà dans son rôle et si elle commençait à lui faire une crise…

Autant abandonner la mission.

Option qu’elle regrettait de ne pas avoir prise en le voyant minauder avec cette pi'tasse. Si elle souriait en minaudant aussi tout en se trémoussant, elle le décapitait dans son esprit de mille façons différentes. Si, si, c’était possible.

▬ Mehhh ! Oppaaa ! T’as toujours dit que c’était moi la plus parfaites de toutes ! La voilà jouant les paumées dépendantes affectives… Bon elle l’était un peu… Mais pas de la même façon ok ?! Bref. Opppaaa, qu’est-ce que j’ai fait qui t’as fâché ?!! Elle avait une voix insupportable, tout autant que son comportement qui était de se coller à lui pour l’agripper de toutes ses forces quand il avait parlé de la vendre. Opppaaaaa !!!! Laisse moi me racheter ! Non ne me vend pas ! Je t’en supplies… Je ferais tout ce que tu voudras !

Cette comédienne. Incroyable. Mais le pire dans tout ça et elle le savait très bien, c’était que l’autre devait se délecter de la situation, de la scène, comme de la vue… Ce n’était pas une petite baffe qui allait le refroidir. D’ailleurs en parlant de ça, elle viendrait refroidir cette grognasse après sa mission. Personne ne giflait son mari à part elle… Et les faits étaient qu’elle ne l’avait jamais fait. Alors malgré sa détresse affichée, elle fulminait. La matrone allait passer un sale quart d’heure dès qu’elle ne leur servirait plus à rien… Parole de Kaguya.

Puis en plus elle allait aggraver son cas en lui collant une à son tour pour : « la lui faire fermer »… fin de citation. Ouch… Même si ces bêtes là ne sentaient quasiment rien quand on tapait dessus, ils aimaient même ça la plupart du temps en fait, sa façon de le faire lui avait déplu fortement. Ego et orgueil chez les Kaguya hein…

Elle implosait.

La riposte fut instantanée, mais plutôt que griller sa couverture en la plantant avec un os (comme elle avait prévu de revenir le faire plus tard.. et par un orifice qui n’allait pas lui plaire…), la Kaguya l’avait agrippé par les cheveux pour un vrai crêpé de chignon… Enfin vrai, vous me comprenez quoi, ça avait l’air crédible en tout cas qu’elle ne savait pas se battre plus que ça. Ceci dit, bien que petite, Osamu avait l’avantage de sa force naturelle et de kunoichi entraînée. Les deux femmes ne tardaient pas à se retrouver à califourchon au sol tour à tour, tout en se griffant, tirant les cheveux et mettant des tapes complètement ridicules.

Damne, ce qu’on ne lui faisait pas faire pour ce village…

▬ Sale garce, je vais te tuer, tu me piqueras pas mon opa d'amour, tu vas mourir avant d'avoir eu le temps de dire ouf.

Et ça durait encore quelques minutes où la Kaguya faisait semblant de ne pas être capable de prendre le dessus avant de prendre de cours la matrone en l’étranglant. Si cette femme était leur cible, vu son niveau, elle allait savoir se défendre. Sinon…

Non mauvaises langues ! Elle n’allait pas la tuer tout de suite, elle devait revenir la torturer et s’amuser un peu avec plus tard. Suivez un peu bon sang !

La catin tueuse.
C
ela ne pouvait-être qu'une farce... Shojito avait l'impression de rêver. Il eut un très long soupir en voyant la Kaguya faire tandis qu'il laissait un moment pour réfléchir. Il la savait stupide mais pas au point de faire capoter la mission. Soudainement sa décision fut prise. Une main sur la tête de la Kaguya et une autre sur la matrone Shojito les séparait non pas sans mettre un très discrète mais intense décharge à Osamu pour lui faire comprendre de lâcher prise.

-Tu vois ma belle. Elle est coriace ma fille, elle te sera utile. C'est pas comme tes mocheté dehors là. Elles, elles te raportent quoi ? 100 ryos la passe ? 200 peut-être ? Osamu en vaut au moins le triple. Si tu me l'achète et que tu l'a mets au boulot dés aujourd'hui. J'm'occupe de toi. Et crois moi on m'appel pas Oppa barre de fer pour rien.

Avait-il déclarer en aidant les deux à se relever. Shojito jetait un regard à Osamu comme pour lui faire comprendre de ne pas faire de vague et au passage qu'il ne comptait pas le moins du monde tenir sa promesse. Son but ici était de faire en sorte de mettre Osamu au plus vite de la rues avec les autres filles pour que celle-ci la voit à l'oeuvre et saisisses leurs différence et que l'une d'elle jalouse, la fameuse catin, tente d'agir et la tuer. Bien entendu il s'occuperait de payer les hommes que viendront pour prendre du bon temps avec sa femme pour qu'il la fermes et reparte comme s'ils avaient été comblé par cette dernière. La matrone se relevait alors à l'aide de l'Ikezawa et ne semblait pas contre la proposition. Elle jetait d'ailleurs un regard entre ses jambes pour tenter de distinguer la forme de son membre. Sans gêne elle ne s'était même pas targuer de se cacher un minimum.

Prévoyant Shojito avait retenu Osamu pour l'empêcher de rentrer dedans une nouvelle fois. Elle eut un frisson et désormais elle s'était décidé à donner une réponse. "Tu peux rejoindre les filles. Toi et moi mon beau on a affaire à parler." S'était-elle exprimé, ce qui n'était pas vraiment en cohésion avec les projets de l'Ikezawa qui lui sourit avant de lui saisir la main et de l'embrasser ajoutant.

-Je veille sur ma fille pour la journée, le paiement ce sera pour demain. Tu aura toute sa recette en fin de journée et plus elle est élevé, plus la valeur d'Hyana augmentera. C'est à prendre ou a laisser.

Avait-il déclarer avant de partir avec Osamu en direction de la rues dans la quel officiait les putains du coin. Bien entendu il portait un regard attentif à tout ce qui les entouraient et comptait sur sa femme pour jouer le jeu. Sur le chemin il lui chuchotait d'ailleurs quelques mot.

-Prends un maximum de client et enmène les dans la chambre la bas. Je m'occupe de les payé pour qu'ils repartent ravi. C'est la mizu qui rince après tout.

Finissait-il dans une détente des plus totale alors qu'il savait pertinemment que la Kaguya bouillonnait et qu'elle allait avoir beaucoup de mal à continuer cette mission sans parano sur le fait de voir son homme avec la matrone...

Invité

A elle… Il ne lui avait jamais baisé la main. C’était Opa le démembré qu’on allait l’appeler sous peu s’il continuait son cinéma. Bon ok c’était pour sa mission, mais quand même. Ça plus la décharge, ça commençait à faire beaucoup, alors si dans un premier temps elle avait voulu se plaindre du plan, finalement son énoncé lui convenait parfaitement. Un doigt peu poli pour la matrone et elle filait vers l’extérieur, non pas sans rire intérieurement en entendant cette folle dire qu’elle allait la dresser.

Osamu serait curieuse de voir ça.

Mais avant ça, elle avait un coup à rendre à monsieur barre de fer.

▬ Voyons chéri, tu es bien placé pour savoir que saurait parfaitement les satisfaire. Tir de langues. En plus en y repensant, en tant que Geisha j’ai aussi mes habitués dans le genre…

La piqûre de rappel n’allait pas lui plaire, mais oui, elle exerçait toujours son second métier, et elle ne serait pas surprise de retrouver ici des habitués ne pouvant pas obtenir là-bas ce qu’ils cherchaient, en plus de quelques attentions. Ne lui laissant pas le temps de riposter à la boutade, elle coupait aussi l’herbe sous le pied à la plus jolie des catins de la rue. Son petit show faisait son effet, ses capacités d’enjôleuse étaient impressionnantes… Et la voilà en quelques minutes, repartie avec le client de l’autre demoiselle au travail. Cette même qui avait bien tenté de la dégager, mais qui c’était retrouvé clouée au sol après deux tartes de la Kaguyette. Si c’était leur cible, elle était bonne comédienne, sinon, il lui restait encore cinq autres avec qui jouer sur les nerfs.

Shojito voulait payer, Osamu garder le pactole, conflit d’intérêt ? Aussi quand elle se retrouvait seule avec le client, elle lui sortait son os le plus tranchant et son air le plus menaçant. Sans oublier ses magnifiques cornes lui donnant plus un air de succube que de démon à proprement parler…

▬ Est-ce que tu es prêt à tout pour survivre ? Parce que tu sais ce que je suis n’est-ce pas ? Le premier homme tétanisé hochait la tête pour confirmer… On va jouer à un jeu, tu vas refaire tout comme moi, ok ?

Nouvelle approbation, puis la voilà imitant un gémissement. Sa victime sous pression avait du mal à démarrer, mais elle avait des arguments notre Kaguya… Finalement, il poussait ses faux hâles, mais aussi toutes sortes de gémissements qui laissaient penser qu’il passait le meilleur moment de sa vie… Alors que c’était sûrement l’inverse. Et après plusieurs très longues minutes de cette mascarade, elle le raccompagnait dehors après les avoir débrailler un peu pour être crédible.

▬ A plus mon chou, c’était vraiment génial ! Repasse me voir ! Elle lui envoyait un baiser d’une main.

L’homme exténué par la pression qu’elle lui avait mis, obéissait sagement à la consigne qui était de jouer le jeu et ne jamais parler de ça à personne s’il ne voulait pas qu’elle le retrouve pour lui faire la peau de la pire des façons. Allez victime suivante… Même si elle se doutait bien que son mari allait voir une mise au point avant ….

La catin tueuse.
Q
u'elle était grognasse à ainsi le provoquer. Comme si la jalousie avait vraiment besoin d'être de la partie. Shojito enrageait de la voir se comporter tel une enfant cependant il savait qu'elle ferai le job et qu'elle n'irai pas trop loin. Du moins c'était ce qu'il pensait avant de la voir ainsi menacer les clients qu'elle recevait... Idiote, cela avait marché pour les trois premiers mais suffisait qu'un shinobi rentrant de mission souhaite se faire plaisir pour que cela fasse capoté toute la mission. Dans d'autre village surement, le shinobi entre eux n'aurait pas l'idée de faire échoué la mission de leurs camarades, mais ici nous étions à Kiri et à Kiri entre les fans de la brume et les opportunistes, ils ne manquaient pas d'enfoiré dans les rangs.

-Osamu. Arrête tes conneries ! Menacé les gens comme ça c'est nous exposer directement au danger ! Reflèchi un peu avec ta tête non ? Bon sang... Ce que tu peux être stupide !

Déclarait-il fermement, pour peu il lui en aurait décrocher une tellement elle faisait n'importe quoi. Mais l'heure n'était plus à la dispute car déjà l'une des filles ressortait du lot, un charme assez présent et une posture assez gracieuse, elle semblait fébrile à l'idée d'ainsi se faire voler tout ses clients par une seule et même personne. Sans vraiment qu'il sache pourquoi elle s'était rapproché de Shojito et se mettait à le coller. Jouant parfaitement son rôle l'Ikezawa se laissait tripoter et de son habituel regard neutre il la fixait.

-Je ne suis pas un client tu sais ?

Déclarait-il à la jeune femme qui semblait vouloir se jouer de lui. Une certaine perfidie dans le regard il se pouvait bien que cela soit là jeune femme que nos deux shinobis cherchaient. Sans trop parler elle saisissait Shojito par la main et commençait à l'emmener vers une chambre. Bingo, pensait-il en regardant non loin Osamu qui ne semblait pas le regarder mais batifolé avec un client. Mince, comment allait-il faire seul ? Il lui fallait trouver une solution pour que la catin tueuse se dévoile d'elle même. Si Shojito était sa potentielle victime à quel moment s'arrêtait-elle de jouer la comédie ? Les rapports ne faisait pas fit de ce détail... Arrivé dans la chambre la femme le poussait violemment sur le lit tandis qu'il la regardait toujours aussi neutre.

-Oh, oh ? C'est ainsi que tu traites tes clients ?

Demandait-il en croisant les bras observant ce qu'elle pouvait bien avoir envie. Rien ne prouvait qu'il s'agissait ici de la catin tueuse, il allait devoir jouer le jeu un maximum... Pourvu qu'Osamu soit trop occupé dehors et qu'elle ne débarque pas, car il n'avait pas envie d'avoir la mort d'une innocente sur la conscience. Si tant était qu'elle était innocente... Que faire ?... Soudainement la femme face à lui se mettait à se déshabiller lentement faisant un show à son hôte qu'elle avait éjecter sur le lit... Merde... Il ne pouvait pas se permettre de regarder mais s'il détournait le regard il se grillait. Alors il matait les courbes de la jeune femme malgré lui...

-Eh bien tu sais te faire désirer toi. Dis m'en plus...

Disait-il alors que son regard s'était attardé sur sa jambe droite ou se trouvait un porte-jarretelle dans le quel était coincé un kunai des plus finement aiguisé. Cette fois c'était soit jackpote soit il allait se retrouver dans de beau draps avec Osamu. Et alors qu'il se mettait à penser qu'il allait devoir de bonnes excuse à sa femme, la catin tueuse se dévoilait alors et venait se saisir du kunai pour le mettre sur la glotte de l'Ikezawa qui eut un large sourire de soulagement et n'eut même réflexe de s'en défendre. Un véritable soupire de soulagement s'en suivait et même une petite larme de joie.

-Si tu savais comme je suis content de te voir faire ça. Tu ne sais pas toute les peines que tu nous évites avec ta soif de sang ! Pauvre petite câtin, tu ne sais pas ce qu'il t'attends désormais. J'ai peur pour toi.

Avait-il déclarer en regardant par dessus l'épaule de la câtin et en y apercevant sa femme bouillonnant devant la scène. Bien entendu qu'Osamu était un minimum professionnelle et qu'elle avait assisté à la scène dans un grand silence jusqu'au dénouement. Il n'osait même pas imaginer s'il s'était trompé de piste car le regard que lui portait la Kaguya lui faisait froid dans le dos..

-Osamu... Ne la tues pas...

Laissait-il échapper de ses lèvres alors qu'il s'avait qu'elle allait se défouler sur la câtin pour tout ce qu'elle avait du endurer à cause de cette mission. Mais encore fallait-il l'intérroger et peut-être ne serait-ce pas une mince affaire.. Enfin, c'était sans compter le couple à qui l'on avait assigner la mission, faire parler était surement la chose que les deux pouvaient faire plus facilement que n'importe qui. La catin fut surprise par la présence d'Osamu dans son dos et elle tentait de trancher la gorge de l'Ikezawa avant de se retourner arme en avant pour se défendre de la monstrueuse Kaguya respirant la mort. "Je... Tu arrives trop tard la nouvelle ! Il est mort ! Et maintenant c'est ton tour ! Pas de témoins !" Déclarait-elle alors que l'Ikezawa était allongé sur le lit semblant inerte. Plus de doute possible désormais.

-Qui est mort ? C'est un peu présomptueux de ta part d'enterrer les gens que tu ne pourrais tuer même si une dose de force ultime te possédais.

S'était targuer de déclarer Shojito en se relevant et en observant désormais ce qu'allait faire la Kaguya. Pauvre catin tueuse, pas de chance...

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